Diorama Yackuffle, la sculpture de l'animal

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Les oreilles :
J'ignore si j'ai eu de la chance ou si j'ai été bien inspiré, mais la question des oreilles a été vité réglée.
J'ai applati du Milliput avant de le découper en triangle arondi sur un côté, puis de le rouler sur lui même. En recoupant un peu la pointe, j'avais mes oreiles de bovidé.
Je les ai ensuite fixées derrière les cornes.

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Les pattes et la queue :
Après avoir cuit la pièce pour solidier la Fimo, j'ai constaté qu'elle se retravaille très mal après coup. Il est difficile de la poncer par exemple. Mieux vaut donc anticiper et la lisser correctement avec un pinceau-gomme.
par contre la résine blanche est beaucoup plus dure une fois sêche. J'ai donc pu affiner le travail sur les sabots avec une lime.
J'ai ajouté de la matière sur la queue et les cornes.

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Couverture et harnais :
J'ai ajouté une couverture sur le dos de l'animal. Elle est constituée d'une fine feuille de Milliput froissée.
J'ai continué à ajouter des poils et mis en place un harnais qui se fixe autour du mufle et du ventre. Il passe aussi le long du dos de l'animal. Je l'ai agrémenté avec des anneaux en fil de plomb.

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Retouches :
Par petites touches, j'ai amélioré tout ce qui devait l'être.
J'ai allongé les poils sur les pattes pour protéger l'animal du froid, et ajouté des poils sous le cou.

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Peinture d'impatient :
A cette étape, je n'ai pas résisté à l'envie de sous-coucher le yackuffle en noir et à le peindre rapidement. C'était trop tôt, mais j'avais besoin de me rendre compte du résultat.

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Cordages :
J'ai utilisé du fil conçu pour coudre le cuir afin de compléter le harnais en résine verte. La ficelle passe par les anneaux en métal.
Je me suis amusé à placer une griffure de fauve sur une cuisse de l'animal.
J'ai retouché les yeux, les poils des pattes avant et de la queue.

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Chargement :
En puisant dans les grappes plastiques de gnoblars, mais aussi de l'Empire, et du Géant, j'ai commencé à charger la brave bête de matériel.

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A boire et à manger :
J'ai fixé les éléments avec de la résine verte ou de la Super-Glue selon la situation, en essayant de respecter la pesanteur et l'applomb "naturel" des éléments.

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Y'a pas de mêêêêh !
J'ai confectionné des sacs et des couvertures en résine verte. Quelque couches d'armes, pièges, tonneaux et chèvres ensuite, j'ai finalisé la peinture. Je me suis fait plaisir sur le bouclier et les lapis-lazuli, le reste est inégal. Je suis d'ailleurs en panne d'inspiration pour les yeux de l'animal pour le moment.

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Bingo !
Bon, je pourrais encore ajouter du matériel, mais sur le principe, je suis content du résultat, compte-tenu du défi que celà représentait pour moi au départ.